BLOG N° 63 COVID GAMES : LOST IN TRANSLATION

BLOG N° 63

COVID GAMES : LOST IN TRANSLATION

SOMMAIRE :

LES MÉCONTENTEMENTS DU VICE

Passe Kamair  bus stop 52, rue d’Auteil

LOST IN TRANSLATION TOKYO JO 21

Covid 1er a mis l’Humanité entière sous anabase et anaphase profonde, à durée aléatoire. D’où le bordel, les divergences et tensions. Les vices, exacerbés à fleur de peau, remontent et se déversent en un torrent visqueux. Alors la Résistance s’organise. D’ailleurs même, on ne dit plus résistance, mais résilience, par anglicisme. Mais ce n’est pas si anodin que cela.

Cela renvoie au débat exception culturelle à la française, (mittérrandienne, plus exactement, où toutes les cultures sont exceptionnelle), versus pensée unique américaine. Victoire américaine, comme un débarquement en Normandie. D’où la Convention sur la Diversité Culturelle, UNESCO, 2005, Paris. Et non Exception… La pression du lobbying américain -suspension du versement des cotisations des Usa…- était (et est toujours) telle que pour trouver des documents en français vous pouvez toujours attendre ou courir. Au choix. Le siège de l’Unesco est à Paris. Le français de François, langue des cours royales européennes, est aussi langue de la diplomatie internationale. 

Tout cela pour vous convier à voir, en présentielle et non présidentielle,

UNESCO,  7 Place de Fontenoy, Paris 75007 (James Bond)

ou en virtuelle https://en.unesco.org/creativeresilience 

l’exposition « Résilience Créative », oeuvres artistiques de femmes scientifiques autrices, actrices de leur expérience sur la pandémie, qu’elles font partager au monde entier. Cette pandémie, qui nous enquiquine tous, est du fait -surtout- de l’irresponsabilité de politiques, enrichissant sans cause du Peuple les fabricants de vaccins, via des mesures liberticides contraignant le pauvre Peuple à se vacciner, sous peine de risquer de mourrir. D’aucuns relancent le débat sur le rétablissement de la peine de mort, 40 ans après son abolition par Robert Badinter, Garde des Sceaux de François Mitterrand.

 Radhika Patnala, Founder & Director SCI-illustrate, co-organisatrice de l'évènement avec Jamila Seftaoui, Directrice Division pour l'égalité des genres.

L’Art par des Femmes de Science -en réponse à la pandémie- est une invitation de l’Unesco aux femmes du monde des sciences et du monde entier, à partager leur sensibilité à tout l’univers. « L’art a le pouvoir de provoquer, motiver, inspirer, illuminer et susciter le changement ». 

On pourrait rajouter l’intersectionnalité à la résilience de cette initiative, tant la misogynie est de rigueur : « un scientifique sur trois est une chercheuse alors que les femmes représentent entre 45% et 55% des étudiants universitaires et 44% des inscrits aux programmes de doctorat… 26% de femmes scientifiques ont informé et sensibilisé le grand public au sujet de la pandémie, mais uniquement 8% de femmes scientifiques ont participé à la coordination des politiques de réponse au niveau institutionnel. »…

Avant, des dazibaos fleurissaient, sentant bon les hanches de jeunes filles en fleur ou en pleurs,f aux alentours des universités et grandes écoles. C’est simple : d’un côté il y avait la liste du top ten des résultats, de l’autre, la liste du top ten des meilleures embauches, selon les disciplines. Les 10 meilleures notes affichaient les posters de 8 jeunes filles en fleur, au minimum, les 10 meilleures embauches arrivant, péniblement, à 1 jeune fille en pleur, au maximum.

Cinquante-quatre autrices, actrices des cinq continents donc, nous proposent leurs oeuvres autour de 3 thèmes : l’Espoir, la Peur (crainte?) et la Douleur, la Responsabilisation (empouvoirement). 

C’est original, surprenant, attractif et beau. On comprend que scientisme et esthétisme font bon ménage. Il y a aussi cette performances de 6 femmes qui interviewèrent 87 femmes prof de maths de par le monde, pour expliquer comment visualiser un tableau et suivre des cours en virtuel ! 

" Durant des siècles, les femmes ont exprimé leur passion pour la science à travers les arts, partageant leurs analyses, leurs découvertes, et leurs idées dans des oeuvres intellectuelles et créatives. Maria Sibylla Merian (1647-1717), par exemple, était une botaniste, écologiste et entomologiste autodidacte avant même que ces domaines ne soient définis, et Gertrude Mary Woodward (1854-1939), a réalisé des illustrations paléontologiques pour le British Natural History Museum au début des années 1900. "

« Résilience Créative : L’art par des Femmes de Science en réponse à la pandémie "

C’est jusqu’à la fin Novembre 2021, Unesco, entrée Place de Fontenoy, Paris 75007.

LES MÉCONTENTEMENTS DU VICE

Quand le consentement est vicié, le comportement souillé, il y a vice ! 

Alors que nous vantons l’intelligence artificielle, bêtes de somme que nous sommes, que nous nous insurgeons, esturgeons, contre le triste sort réservé aux transgenrés, il n’est question que de scandales sexuels dans toutes les disciplines et branches d’activités de nos sociétés modernes évoluées, matérialistes et délabrées. Les droits de l’homme ne sont qu’assouvissements de déviances sexuelles refoulées, exacerbées par une amorale société de consommation avide et boulimique. L’indécence du sexe et des sens. Et non l’élégance de la sensualité, poésie du séduire. Ça n’a pas de sens. 

Pédocriminalité : PÉDOPHOLIE ! Nous disons, boutade il y a peu, que curés and co devraient être mariés pour qu’ils fassent des enfants, plutôt qu’ils se fassent des enfants ! Let the children play ! Save the children ! 

Pauvre enfance en souffrance. Et comme si cela ne suffisait pas, non seulement l’Assemblée Nationale, vox populi du SU, après s’être emmêlée les pinceaux et pédales sur l’abaissement de l’âge du viol d’enfant, et de l’augmentation des peines, c’est la levée du secret médical qui pour les scolaires qui est en ligne de mire. Les Forces Vives de la Nation.

Pour le 30ème anniversaire de la CIDE (convention internationale des droits de l’enfant), lors de la 40ème Conférence Générale de l’UNESCO, novembre 2019, dans son allocution, Emmanuel Macron, président  de la République, s’insurgeait contre tout ce qui tendait à dénier à l’enfance son droit premier et fondamental : le droit à l’innocence (cf revue L’Afrique Littéraire et Artistique, N°1. ) 

Face aux irréversibles et irrévocables dégâts causés par les hommes, l’ordination des femmes prêtres est plus que jamais à l‘ordre du jour ! Tout comme la question femme, tous les jours à l’ordre pour l’égalité salariale à l’aune des compétences. 

Cela n’a rien à voir avec une nouvelle Affaire des Indulgences.

Quant à l’histoire de viols et harcèlements, à Centrale-Sup Élec, ENS Lyon et j’en passe à des meilleurs, il est temps qu’on se penche quelque peu sérieusement sur ces comportements déviants des futures élites de la nation, formatées en de grandes écoles et hautes études. Quand va-t-on comprendre que la séduction, comme la misogynie, le racisme, ce n ‘est qu’une histoire d’éducation, avant toute chose !

Aide aux Pme : le Crazy Horse, le Paradis Latin, le Moulin Rouge 1million€ chacun, le Lido , seulement 700 000 €… Et les autres ? C’est qui les autres ? Le Printemps de Bourges : 500 000€.

Et ce web news qui titrait la quête des milliardaires pour la vie éternelle profiterait et bénéficierait à la santé universelle de toute l’humanité… Ces mêmes qui vont dans l’espace, alors que, tous les jours, on compte toujours les morts de la pandémie-épidémie, sur très chère mère Terre chérie…

Passe Kamair  bus stop 52, rue d’Auteil

Douce France, cher pays de l’enfance pour d’aucuns, de souffrance pour d’autres cherchant papiers désespérément, connaît une fâcheuse fascisation du bas débat électoral sur l’hospitalité républicaine. Les Français ne sont pas maltraités, en Afrique francophone. Nous plaidons pour la réciprocité de l’égalité de traitement… 

En hexagone gaulois, le passeport coûte de 17 à 99€. À savoir : 17 €, pour les moins de 15 ans ; 42€ pour les 15-17 ans ; 86€ pour les majeurs, en métropole et outre mer ; 96€, avec photos, 99 € sans photo, à l’étranger.

Au Cameroun, le Cameroun, c’est le Cameroun, ce n’est pas comme ça… Depuis le 1er juillet 2021, le passeport biométrique est passé de 75 000 à 100 00 francs CFA… Vraiment, vrai de Dieu, le bio là, c’est cher, hein, pour le développement durable ! De 110 à 165 € … Et ce n’est pas tout. Une fois cette somme réglée, par carte bancaire, sur un site gouvernemental qui prévient de se méfier des faux sites escrocs (Escrocam), un formulaire vous est envoyé, par courriel, portant date de votre rendez-vous à l’ambassade, pour la suite de l’affaire. Vous vous pointez, pensant naïvement faire photos et empreintes digitales pour ce. Trop facile ! 

Après être passé par un portillon, qui ressemble à s’y méprendre, aux portillons de sortie du métro aérien, ligne 2, entre Jaurès et Barbès, en montrant votre formulaire à une caméra cachée, vous êtes priés de laisser portable et ordinateur, à la réception. Passe encore. Vous attendez ; c’est animé. Normal. Enfin vient votre tour, pour accéder au Graal. C’est là alors qu’on vous assène le coup du berger, pour vous mettre mat en 3 coups. Il faut vous acquitter d’une carte consulaire, jamais demandé auparavant pour un passeport, 30 € ; d’une fiche d’état civil, 10 €. Puis, il vous faut faire authentifier une photocopie de ladite carte consulaire, émise sur le champs là là, par l’ambassade, à l’ambassade, 5 €. Uniquement en liquide, pas de carte ou chèque… 

Traduction : les 165 € payés par carte, vont directement dans les caisses de l’état, à Yaoundé, (pour alléger la dette publique ?) ; les 45 €, en cash, aux ambassades, servent à améliorer la ration quotidienne, salaire de la peur des fonctionnaires consulaires mis à mal par la dévaluation et les restrictions budgétaires…

Vous recevrez votre passeport, plus tard… Fulminant de rage, vous sortez. L’arrêt du bus 52, rue d’Auteil, vers la porte du même nom, est devenu l’arbre à palabres d’anciens camairs, combattants de Paris turf, canette à la main…

Tout ça parce que vous êtes fiers d’être camerounais… C’est cher payé. 

Bon sinon, c’est le bordel : des prisons qui proposent des réductions de peine aux taulards qui se feront vacciner. Pendant ce temps, des pompiers ne sont plus tauliers parce que non vaccinés ; ça fait désordre.

Faire payer les test aux non vaccinés, en premier lieu, reste une mesure répressive et non préventive. La prévention, en état d’urgence sanitaire, c’est la gratuité, égalité pour une solidarité nationale. Covid n’en a que faire. Il s’agit juste d’enrichir d’aucuns, au détriment d’autres qui meurent toujours, tous les jours.

Quant à une 3ème dose, c’est comme pour les lames de rasoir ou la 5G. On n’arrête jamais le progrès. Pourquoi ne détermine-t-on pas la positivité ou la négativité du virus qu’à la 2ème dose ? La 1ère dose sert à rien ?

Nous nous lamentons du choix d‘un régime des plus liberticides pour endiguer l’épidémie. Jamais il n’y a eu autant de violences familiales et conjugales, de féminicides et d’infanticides… 

Des journalistes continuent à mourir chaque année, dans l’exercice de leur profession. Même si les communiqués de presse de l’UNESCO en font moins état. Cette noble institution est fortement préoccupée par l’instruction scolaire et l’éducation familiale de milliards d’élèves, défavorisés qui plus est, qui sont en danger. 

Et comme si ce n’était pas suffisant, nous comptons 227 défenseurs de l’environnement morts, en 2020, dans l’exercice de leur fonction, contre 212, en 2019… 

La Nature est en danger. La nature de nos états d’âme aussi. Chassez le naturel…

Oui, parler des JO en plein sanglots longs des violons de l’automne, ça fait un peu  dépassé et déphasé. Mais bon. Pour la première fois, les JO ont été repoussés, non pour cause de guerre mondiale, mais, surtout, il n’y avait pas de spectateurs, occupés, omnibus des mandibules, à lutter pour ou contre l’état urgence sanitaire.

Soit. Mais la Chine, qui accueillera les JO d’hiver, en février 2022, annonce déjà qu’il n’y aura de spectateurs que de Chinois et autres personnes résident en Chine. Aucun étranger ! Même Sméagol-Gollum, entendez Éric-le-déclic télé, est prié chercher son Precious ailleurs. 

Il y aura plus de monde qu’à Tokyo. Certes. Mais entre JO d’été-21 et JO hiver 22-v’là les flics sanitaires, les manifestations sportives, en Occident, renouent avec des stades noirs de monde, en des contrées où le covid fit le plus de victimes au monde. Black Life matters !

LOST IN TRANSLATION TOKYO JO 21

JO = Jeux Olympiques  CM : Champion(nat) du Monde.

RM : Record du Monde RO : Record Olympique CO : champion olympique

Les premiers Covid Games ont donc eu lieu. Sa partie athlétique formatée olympique, prélude les Godots des Paralympiques, paralysie intellectuelle qui frise l’hérésie. C’est tellement plus addictif de parler d’intelligence artificielle, (je ne suis pas un numéro, ni un robot), et autres voyages civils pour civiliser l’espace. Sottes prétentions. Je prétends marcher sur l’eau ! Vas y, avance.

Mais il y a toujours ce paradoxe. Pourquoi distancier JO et Paralympiques ? C’est comme si on faisait des JO pour femmes, distanciées des JO pour Hommes, alors que la nouvelle tendance, en athlétisme et en nation, abonde dans le sens des relais mixtes! Pourquoi pas des relais olympiques et paralympiques mixtes, en plus ? Tant qu’à faire… 

Le mal est plus profond qu’une simple boutade. Comme pour la misogynie et le racisme, il s’agit, encore une fois, d’éducation, rien que d’éducation. Non seulement dès la crèche même, mais aussi dans les clubs civils, les associations sportives scolaires et autres. Et enfin arriver, stade suprême, à égalité de compétences, égalité de salaires, de rémunérations, pour une Diamond League et International Swimming League olympiques-paralympiques. Là, ça a de la gueule, et non de brailler à tout va au vent intelligence artificielle. Chassez le naturel, il revient au galop…

Bien sûr, ces J.O. charrièrent leurs lots d’émotions saines et salvatrices, en ces temps d’urgence sanitaire élémentaire comme un cours scolaire secondaire qui n’arrive pas à trouver son rythme de croisière, où nul ne s’amuse, face à la défiance de supposés élèves, malappris, transformés en cobaye pour la plus grande gloire de l’industrie pharmaceutique. D’engagez vous, on est passé à soignez vous, pour changer tout. Drôle de paradigme…

PREMIÈRE MÉDAILLE

La première médaille d’or revient à la Chinoise Qian Yang, carabine à 10m, la Russe, Anastasia Galashina en tête alors, s’effondrant lors de son tir ultime, alors que tous la voyaient parée d’or. À telle enseigne que Qian, après son dernier tir, pliait déjà les gaules, dépitée, sans même attendre le tir de la Russe. La Suissesse Nina Christen prend le bronze.

Pour la petite histoire, au classement des médailles dans cette discipline du tir (carabine, pistolet and co), la première nation, de loin, de très loin, est : Usa (110 médailles, : 54 or, 29 argent, 27 bronze )… puis Chine (56 : 22-15-19),Urss (49 : 17-15-17 et Russie 31 : 7-13-11), Italie, Suède, Grande Bretagne, Norvège, Allemagne, France, Russie, Corée du Sud, Hongrie, Suisse….

ATHLÉ

100m F. La nouvelle reine du sprint mondiale est Jamaïcaine! Non seulement Elaine Thompson-Herah double la mise, consécutivement, sur 100 et 200m, comme Last Summer in Rio 2016 ; non seulement elle établi la deuxième perf’ de tous les temps, 10s61, or et RO, derrière « l’intouchabilité » du chrono stratosphérique du RM de Florence Griffith-Joyner, 10s49, chrono établi à Indianapolis, un 16 juillet 1988. Elle détrône quand même Flo Jo de son RO, 10s64, aux JO de Séoul, 1988. Elaine se pare d’or aussi sur le relai 4x100 m. Les chronos sont hallucinants. Triplé des Jamaïcaines, les I Threes du 100m : Shelly-Ann Fraser-Pryce,10s74 argent (double championne olympique,100 et 200m, 9 médailles olympiques, 9 titres mondiaux…), Shericka Jackson bronze, 10s76. L’Ivoirienne Marie José Talou échoue en chocolat, 10s91, suivie des deux Suissesses, Ajla Del Ponte, 10s97, Mujinga Kambundji, 10s99, et, énorme surprise, à la 7ème place, l’américaine, Teahna Daniels !!!!

Le 100m H restera dans les mémoires comme l’un des plus surprenants, mais non des plus rapides. L’Italien (un peu américain) Lamont Marcell Jacobs prend l’or le plus rapide des Jeux ; devant l’Américain Fred Kerley et le Canadien Andre De Grasse (qui gagnera le 200m). 

Les Italiens seront en or sur le relais 4x100m H.

200m F : Elaine Thompson-Herah, Jam, fait son doublé, or en 21’53, devant la Namibienne de 18 ans, Christine Mboma, la prodige en argent en 21’81, qui termine déterminée comme ja-ja en mode bolide, l’Américaine Gabrielle Thomas, bronze, 21’87, MJ Talou échouant à la 5ème place. 

Chez les H., le Canadien Andre De Grasse, gagne enfin un titre olympique, chipant la vedette aux Américains, en piste pour un triplé salvateur : Bednarek, argent, Lyles, bronze et Knignton, chocolat.

LES PERF’ AFTER JO 

Gag , après les JO, Elaine Thompson-Herah a été flash à 10’’54, Fraser-Pryce à 10’’60 (Elaine terminant 2ème, en 10’’64, sur cette course). La grande absente est évidemment l’Américaine Sha’Carri Richardson, 21 ans, 10s72, en avril dernier,  10s75 à 19 ans… Elle sera disqualifiée pour avoir été controlée positive, à l’herbe,  avant Tokyo. Legalize it ! Christine Mboma gagnera tous les 200 m after JO, auxquels elle participera, toujours en mode bolide, en moins de 22 s. !

100m haies F, Jasmine Camacho-Quinn, Cuba, jongle et joue avec les haies, pour s’imposer devant l’Américaine Kendra Harrison et la Jamaïcaine Megan Tapper, Tobi Amusan, Nigéria se contentant du chocolat. 

Chez les H ; ce fut un duel Jamaïque vs Usa : Hansle Parchment, Jam, or ;  Grant Holloway, Usa, argent ; Ronald Levy, Jam, bronze, et chocolat pour l’Américain Devon Allen.

400m F. Allyson Felix (dire qu’elle aurait pu être française), l’athlète la plus médaillée, aux Jeux, H et F confondus, 11 breloques, dont 7 en or… est en bronze sur 400m , 49’’46, (plus l’or du relai 4x400m). Le 400m est le paradis des Bahamas, Shaunae Miller-Uibo est en or, 48’’36, devant la Dominicaine Marileidy Paulino, 49’’20. 

Coup de tonnerre sur les pentes du Fuji Yama (bis), le 400mH n’est plus la chasse gardée des Américains. Steven Gardiner confirme tout le bien que sa majestueuse foulée lui promettait. Il prend l’or en 43’85, devant le Colombien Anthony José Zambrano (déjà 2ème, à Doha 2019, CM), 44’’08 ; Kirani James, Grenade prend la poudre d’escampette, en bronze, après l’or, Londres 2012, et l’argent, Rio 2016.

400m haies ce fut la distance des records du monde ; chez les F. l’Américaine  Sydney McLaughlin prend l’or, plus les RO et RM, en 51’’46, trois jours avant de fêter ses 22 ans, l’autre américaine, Dalilah Muhammad, en or à Rio 2016, se pare d’argent cette fois ci, 51’’58 (moins que l’ancien record de 51’’90, de McLaughlin). La jeune hollandaise, Femke Bol, 19 ans, complète ce podium en 52’'03, RE ! 

24 heures auparavant les hommes avaient surchauffé la piste. Karsten Warholm, or et RO et RM, se fait flasher en 45’’94, le premier homme sous les 46s ! Le Norvégien pulvérise le (son) record de presqu’une seconde, l’Américain Rai Benjamin, est en argent, 46’’17 (moins que l’ancien record), le bronze pour le Brésilien Alison Dos Santos; 46’’72.

Relai 4x100m F. Les Jamaïcaines ne battent pas le record du monde, (après leur triplé sur 100m) ; les Américaines sont en argent, les Britanniques en bronze. 

La surprise, chez les H., vient de l’Italie en or, devant la Grande-Bretagne et le Canada. La Chine est en chocolat devant la Jamaïque ! Notons l’élimination des Américains, même pas en finale et la déconvenue du relai japonais, au deuxième passage.

Relai 4x400m, c’est américain. Les filles sont largement en or, avec Sydney McLaughlin-Allyson Felix-Dalilah Muhammad, et, pour finir, la jeune prodige du 800m, Athing Mu, 19 ans, devant la Pologne et la Jamaïque. 

Chez les H., or pour les Usa, devant les Pays-Bas et le Botswana ! 

Le relai mixte 4X400, voit la victoire de la Pologne, devant la République Dominicaine et les Usa.

800m F. Athing Mu est en or donc, Keely Hodgkinson, la Britannique, 19 ans également, en argent, Raevyn Rogers, Usa, bronze. 

Doublé Kenyan chez les H. : Emmanuel Korir, or, Ferguson Cheruiyot Rotich, argent, le Polonais Patryk Dobek prenant le bronze.

1500m F. Faith Chepngetich Kipyegon, Kenya, or et RO, 3’53’’11, brise le rêve de triplé fou de Sifan Hassan, bronze (éthiopienne naturalisée hollandaise). L’argent revient à la britannique Laura Muir. 

Chez les H., Jakob Ingebrigtsen affole les chronos, or et record d’Europe, en  3’28’’32, devant Timothy Cheruiyot, Kenya, Josh Kerr, GB, bronze, Kipsang, Kenya, en chocolat ; ces 4 hommes sont sous les 3’30’’, se tenant en une seconde…

3000m steeple F. Peruth Chemutai,Ouganda (pays qui revient fort en athlé), est en or, devant l’Américaine Courtney Frerichs et  la Kenyane Hyvin Kiyeng. 

Chez les H., second coup de tonnerre au pied du Fuji Yama, Benjamin Kigen, Kenya, ne prend que le bronze, Soufiane El Bakkali, Maroc est en or, Lemecha Girma, Éthiopie, 20 ans, en argent.

5000m F. Sifan Hassan s’offre l’or, devant Hellen Obiri, Kenya, argent, Gudaf Tsegay, Éthiopie, bronze. 

Chez les H., pas de vrai Kenyan sur le podium !!! L’Ougandais Joshua Kiprui Cheptegei, 12’58’’15, assortit l’or à son maillot, Mohammed Ahmed, Canada, argent, Paul Chelimo, Usa, bronze, Nicholas Kimeli, 20 ans Kenya, chocolat en 12’’59’’17. Ces 4 coureurs se tiennent en une seconde !!

10 000m F. Scoop à la une, Tokyo première. Pas de Kenyanes sur le podium ! Sifan Hassan décroche la première médaille d’or de son défi historique et olympique, triplé insensé, 1500, 5000 et 10 000 m… 

Chez les H., le duel Éthiopie-Ouganda, et non Kenya, a tenu ses promesses : Selemon Barega, Éthiopie, or, Joshua Cheptegei, Ouganda, argent, Jacob Kiplimo, Ouganda, bronze Berihu Aregawi, Éthiopie, chocolat.

Marathon F. Doublé du Kenya : Peres Jepchirchir, 2h27’36’’, or, Brigid Kosgei, 2h27’36’’, Molly Seidel, Usa, 2h27’46’’, bronze ; toutes trois âgées de 27 ans, elles  étaient sans performance particulière, avant cela, sur cette distance ultime, en athlétisme. 

Chez les H., l'intouchable Eliud Kipchoge, Kenya, ex coureur de 5 000m (champion du monde 2003,, bronze JO 2004, argent JO 2008), conserve son titre conquis acquis à Rio JO 2016, 2h08’38’’ ; Abdi Nageeye, Hollande, argent 2h09’58’’ , Bashir Abdi, Belgique, bronze, 2h10’00’’.

20km marche est pour l’Italie, avec Antonella Palmisano, or , Sandra Arenas, Colombie, argent, Hong Liu, Chine, bronze. 

Chez les H., Massimo Stano l’emporte devant les Japonais Ikeda et Yamanishi.

Bon ‘y’a toujours la longue Marche du 50km, remporté par le Polonais David Tomala, l’Allemand Jonathan Hilbert, est en argent, le Canadien Evan Dunfee complète ce podium.

Heptatlon. L’or va à ravir à Nafissatou Thiam,6791 pts, déjà en or à Rio 2016, devant la Néerlandaise Anouk Vetter, 6689 pts, Kendell Williamw, 6508 pts, Usa, en bronze.

Décathlon Kevin Mayer, 8726 pts, malgré une 2ème journée d’épreuves exceptionnelles, doit se contenter de l’argent. Or et RO pour le Canadien Damien Warner, 9018 pts ; le bronze allant à l’Australien Ashley Moloney, 21 ans, 8649 pts.

Triple Saut F. La Vénuzielienne Yulimar Rojas, or, (CM 2016, 2017, 2018, 2019), argent à Rio 2016, fait parler sa classe pure et sa sensualité, pour s’offrir, sans souffrir mais avec le sourire, enfin l’or olympique, les RM et RO, à 25 ans, à 15m67 ; la belle Patricia Mamona, Portugal, argent à 15m01, la non moins belle Espagnole Ana Peleteiro s’attribuant le bronze, à 14m87. 

Chez les H., Pedro Pichardo, Portugal, frôle les 18m pour s’emparer de l’or, 17m98, le Chinois Yaming Zhu trouve l’argent à 17m57, Hugues Fabrice Zango, Burkina Faso, le bronze à 17m47.

Longueur F. Malaika Mihambo, Allemagne, CM en titre, confirme enfin tout ce qu’on attendait d’elle, débusquant l’or d’un bond à 7m tout rond. Britney Reese -or à Londres JO, argent à Rio 2016- s’incline devant la relève et décroche l’argent à 6m97, au meilleur deuxième saut contre la Nigériane Ese Brume, 25 ans, bronze malgré ces 6m97. 

Même scénario chez les H. Miltiadis Tentoglou est ce Grec de 23 ans, qui bondit sur l’or avec 8m41; il est à égalité, mais a un meilleur second saut, avec le Cubain Juan Miguel Echevarria, 22 ans, 8m41 aussi, sauf que sur ce saut en question, il est à 22 cm de la planche d’appel… Maykel Masso, l’autre Cubain, de 22 ans aussi, bondit en bronze, à 8m21.

Hauteur F : le concours a eu du mal à décoller : Mariya Lasitskene, Russie, fait plafonner l’or à 2m04, l’Australienne Nicola McDermott est en argent, 2m02, et l’Ukrainienne Yaroslava Mahuchikh, 19 ans, accroche le bronze à 2m pile poil. 

Après les JO : meeting de Zurich. La ville a été transformée en stade d’athlétisme, le sautoir sur une place publique, Lasitskene sourit (enfin) à 2m05, Mahuchikh à 2m03, McDermott plafonnant à 2m01.

Chez les H., c’est un podium inédit à 2m37 pour tous, plus une première double médailles d’or, pour le Qatari Mutaz Essa Barshim (triple champion du monde, bronze JO 2012, argent JO 2016) enfin paré de l’or olympique, partagé avec l’Italien Gianmarco Tamberi, le Biélorusse Maksim Nedasekau décroche le bronze à 2m37 également ; ça s’est joué au nombre d’essais.

Perche. F. L’or est perché à 4m90, Katie Nageotte, Usa ; l’argent à 4m85, Anzhelika Sidorova, Russie ; le bronze, à 4m85 également, pour la Britannique Holly Bradshaw. 

Chez les H., le Suédois Armand Duplantis, 22 ans, se retrouve seul homme en or sur son perchoir, à 6m02 ; suivi de Christopher Nilsen, Usa, 23 ans, argent, 5m97 ; le champion en titre, le Brésilien Thiago Braz, 27 ans, bronzant à 5m87.

Javelot F. La Chinoise Shiying Lui plante l’or à 66m34. Fastoche ! Maria Andrejcyk, Pologne, décoche l’argent à 64m61, puis met sa médaille aux enchères pour aider à payer l’hospitalisation d’un enfant gravement malade ; le bronze est pour l’Australienne Kelsey-Lee Barber. 

Chez les H., l’Indien Neeraj Chopra, 23 ans pour 87m58,, s’impose, en or, devant 2 Tchèques : Jakub Vadlech, 86m67 et Vitezslav Vesely, 85m44.

Disque F. La Croate Sandra Perkovic, or à Londres 2012 et Rio 2016, double championne du monde 2013 et 2017, quintuple championne d’Europe doit se contenter du chocolat olympique, elle qui depuis 2010 trustait toujours les podiums des JO, CM (2ème en 2015, 3ème en 2019, à Doha). L’Américaine Vallarie Allman, après être passée par la danse, prend l’or, devant l’Allemande Kristin Pudenz et la Cubaine Aime Perez. 

Chez les H., doublé suédois : Daniel Stahl (et ses 155 kilos), or ; Simon Pettersson, argent ; l’Autrichien Lukas Weisshaidinger est en bronze.

Le lancer du Marteau est une spécialité polonaise : F. Anita Wlodarczky, Pologne en or (comme à Rio 2016), 78m48, la Chinoise Zheng Wang s’intercale en argent, 77m03 ; Malwina Kopron, 26 ans, donne du bronze à la Pologne, 75m49. 

Même topo chez les H. Wojciech Nowicki projette l’or, pour la Pologne, à 82m52, le Norvégien, Eivind Henriksen, s’intercalant, en argent, à 81m58, l’autre Polonais, Pawel Fajdek, est homme de bronze, à 81m53…

Poids F. Lijiao Gong, Chine, habituée des podiums -(CM, or 2017 et 2019 ; JO, bronze en 2012- depuis 2009, mais absente à Rio, sera la seule à plus de 20m, 20m58 exactement, pour décrocher l’or, enfin à 32 ans ; Raven Saunders, Usa, 25 ans, sourit à l’argent, avec 19m79, tandis que la Néo-Zélandaise, Valerie Adams, 36 ans, (CM 2007, 2008, 2009, 2011, 2012, 2013, 2014, les années pairs concernent les indoors, JO 2008, 2012 en or, argent à Rio), se contente de bronzer à 19m62. 

Chez les H., doublé américain avec Ryan Crouser, Usa, RO 23m37, CO en titre, s’offre l’or et le RO, 23m30 ! Joe Kovacs, (or CM 2015 et 2019), reprend l’argent comme à Rio, à 22m65 ; le Néo-zélandais Tomas Walsh, (or CM 2016, 2017, 2018), persiste à bronzer, comme à Rio, à 22m47 !

Aviron:’y’a pas la pirogue ; ennuis de pagaie : les caïmans peuvent attendre.

Babington le Danois Viktor Axelsen, or, trouble la suprématie asiatique

Certaines disciplines Étonnent : bass ball, golf, basket à 3

Boxe pas une seule médaille africaine, 5 or pour Cuba: ‘y’a pas que la salsa et les cigares

Équitation: sur les 6 épreuves, 3 or pour l’Allemagne

Escrime la Russie 3 or sur 12. L’absence de la machette n’est pas à déplorer.

Gymnastique Simone Biles a le blues, place à une autre Américaine Sunisa Lee, nouvelle reine  du concours individuel. 

Rebeca Andrade devient la première Brésilienne parée de l’or olympique, en gymnastique, au saut à cheval

La Russie remporte le concours général par équipe, F et H, avant d’être sous notée et volée en Gymnastique Rythmique. 

Chez les H, naissance d’un nouveau cador : Daiki Hashimoto. Le Japonais de 19 prend l’or au concours général individuel et à la barre fixe. Il succède à Kohei Uchimura, Japon, 6 fois de suite CM du concours général (2009-2015), plus l’or  olympique à Londres et Rio…

Haltérophilie Chine 7 or sur 14… dont 4 sur 7 chez les F… (j’adorerai faire la vaisselle pour elles)

Sinon, chez les plus de 105-109 kg, le Géorgien Lasha Talakhadze, a encore fait son show of. Hormis une médaille d’argent, CM 2015, il n’y a que l’or qui lui sied depuis : CE 2016-17-18-19-21 ; CM 2017-18-19 ; JO 2016, Tokyo 20-21 !!! Et comme si cela ne suffisait pas, pour éradiquer tout doute, de battre les RM et  RO du coup, à Tokyo, 488 kg, arraché et épaulé-jeté confondus… L’Iranien Ali Davoudi soulève, arrache, épaule et jette l’argent, 441 kg, Man Asaad, Syrie, se contentant du bronze, 424 kg.

Handball La France est en haut et en or chez les F et les H. Le hand est à la France ce que le basket est aux USA. 

Notons les perf’, en sports co, de la France : Volley or (H). Basket, argent (H), après avoir battu les USA au 1er tour, bronze pour les F. 

Quant au Foot, après la Bérézina de l’Eurofoot, suite aux Délices de Capoue de l’after Mondial 2018, c’était une équipe même pas de mercenaires seniors qui ne se connaissaient même pas une week auparavant. Triste sort pour Gignac, qui méritait mieux que de sortir ainsi au 1er tour… Le Brésil l’emporte face à l’Espagne, 2-1 ; le Mexique s’offre le bronze, face au Japon 3-1. 

Chez les F, surprenante mais non moins méritée victoire des Canadiennes, au tirs au but, contre les Suédoises, si proche du but, c’est le cas de le dire. Les Américaines super favorites se contentent du bronze, face aux Australiennes, 4-3.

REMARQUE : La victoire de la France, face à l’Espagne en finale de la Ligue des Nations de l’UEFA n’a fait que rassurer certains sur les potentialités inouïes de tricheries en tous genres que recèle le football. Il y a tellement d’argent en jeu, que même la Var ne fait qu’accroître ce potentiel//

Judo Le Japon fait 9 or sur 15, dont Uta Abe et son grand frère Hifumi Abe. Teddy Riner ne sera pas le plus grand judoka de tout les temps, mais la France l’emporte par équipe mixte, face au Japon. Chapeau !

L’Égyptienne Feyral Abdelaziz est en or au Karaté, + 61 kg, discipline olympique nouvelle où le pays de l’Empire du Soleil Levant, (où ce noble art du corps et de l’esprit -mieux qu’art martial- a été créé, comme tant d’autres d’ailleurs), ne gagne qu’une médaille d’or. La veille, chez les -61 kg, sa compatriote Giana Farouk avait pris le bronze en kumite (règle de combat traditionnel au karaté).

Lutte gréco-romaine, c’est le sacre de Mijain Lopez Nunez, 4ème titre olympique, moins de 130kg, 6 fois champ du monde. Or  toujours, en moins de 60k pour Luis Alberto Orta Sanchez, Cuba. 

Lutte libre, énorme et étonnante razzia japonaise : 5 or  sur 12 (3 or pour Russie, 3 or USA) et une médaille d’or pour l’Allemagne.

Tennis : F. La Suissesse Belinda Bencic est raquette d’or olympique, chez les girls face à la Tchèque Marketa Vondrousova, en 3 sets. L’Ukrainienne Elina Svitolina prend le bronze, en 3 sets, face à la Kazakh Elena Rybakina. 

Mais, nouveau coup de tonnerre sur le Fuji Yama, chez les Ho, Djoko, l’ogre morphale du Grand Schlem qui avait déjà dévoré 3 des 4 tournois majeurs, non seulement se fait taper en demi finale, par l’Allemand Alexander Zverev, en 3 sets, mais également dans la petite finale pour le bronze, par l’Espagnol Pablo Carreno Busta. Zverev décroche l’or olympique, enfin un titre consacrant son immense talent, face au Russe Karen Khachanov, en 2 sets, vite fait, bien fait : 6-3,6-1, en 1h21mn (44 et 37 mn).… 

 4ème tournoi du Grand Chelem. Il ne restait plus à Djoko qu’à faire ce Grand Schlem que, seul, Rod Laver, le légendaire gaucher Australien, fit 2 fois… Zverev loupe le coche, en demi, après avoir pourtant égalisé à 2 sets partout. Daniil Medvedev, le Russe, devant star et tsar de Flushing Meadow, laminant Joko en 3 sets secs, menant même 5-1 dans le dernier set…

Chez les F., la jeunesse des qualif’ se trouve pour une finale inédite, une Canadienne entre une Anglaise, et un(e) vainqueur(e) tout aussi inédit(e). Double première !

Tennis de Table, main basse de la Chine, 4 médailles d’or sur 5, le Japon, prenant le double mixte. C’est pour ça qu’on dit des nous autres-là que nous ne jouons qu'au ping-pong…

Tir à l’Arc, c’est au tour de la Corée du Sud de faire sa razzia : 4 médailles d’or sur 5, la Turquie prenant le 5ème titre.

Cyclisme sur piste, sur les 6 épreuves : F. 6 nations sont en or : Pays-Bas (P-B), Canada, Grande-Bretagne (G-B), Usa, Allemagne, Chine ;  6 en argent : Nlle-Zélande, G-B, Danemark, Japon, Ukraine, Allemagne, 5 en bronze : Russie (ROC) 2 fois, P-B, Canada,, Usa, Hong-Kong. 

H. 4 nations sont en or : G-B 2 fois, P-B 2 fois, Danemark, Italie ; 5 en argent : P-B 2 fois, G-B, Malaisie, Danemark, Nlle-Zélande ; 5 en bronze :  France 2 fois, G-B, Danemark, Italie, Australie.

Cyclisme sur route, 2 épreuves :F. P-B, Autriche en or ; Suisse, P-B argent ; P-B, Italie, bronze : Slovénie, Équateur

Triathlon F : il y a ce final titanesque, dans des conditions météo dantesques ! Flora Duffy, qui n’est pas la première venue en la matière, offre aux Bermudes sa première médaille d’or aux JO. Georgia Taylor-Brown, la Britannique prend l’argent, l’Américaine KatieZaferes, le bronze. Soit ; mais la ligne franchie, il fallait voir comment Georgia commença a converse avec Flora, comme deux bonnes copines qui venaient de faire leurs courses. C’est le cas de le dire…

Natation Synchronisée , en duo et par équipe, les Russes sont les sirènes en or de la discipline. Comme la poutre et les barres asymétriques, la discipline sied peu aux hommes… 

Plongeon La Chine prend son vol : 7 médailles d’or sur 8 possible ; 4 médailles d’argent sur les 4 possible. Et comme on ne peut présenter que deux plongeurs-plongeuses, en individuel, et qu’une seule paire en synchronisé, la Chine n’a pas eu de médaille de bronze…

NATATION 

JO = Jeux Olympiques  CM : Champion(nat) du Monde.

RM : Record du Monde RO : Record Olympique CO : champion olympique

Les mamy watas ayant la dent dure, il y a toujours très peu de participation africaine en  natation….

-100mBrasse F. Lydia Jacoby, 17 ans Usa, est en or ; Tatjana Schoenmaker, Afrique du Sud, en argent, tandis que Lilly King, Usa, brasse le bronze. 

Chez les H., l’intouchable Britannique, Adam « King » Peaty, (CM, en grand bassin -parce qu’il, y a aussi ses perf' en petit bassin et non petit bateau pour petit joueur de baby-foot- 2015-2017-2019, 50 et 100m. JO 2016, or 100m, sans compter les relais ; le Hollandais nageant, Arno Kamminga, prend l’argent dans l’eau, l’Italien Nicolo Martinenghi, le bronze.

-200mBrasse F. La Sud-africaine Tatjana Schoenmaker brasse l’air dans l’eau, pour battre, en or, RM et RO, 2’18’’95, Lilly King est en argent devant l'autre Américaine Annie Lazor. 

Chez les H., l’Australien Izaac Stubblety-Cook se contente d’un RO, 2’06’’38, devant le Hollandais nageant -toujours- Arno Kamminga et le Finlandais Matti Mattsson.

-100mDos F. L’Australienne Kaylee McKeown, 20 ans, fait son swimming show, en 57’’47, or et RO ; la Canadienne Kylie Massela la talonne, 57’’72, pour endosser l’argent, l’Américaine Regan Smith, 19 ans, tournant le dos en bronze, 58’’05. 

Chez les H., doublé Russe,Evgeny Rylov, or, 51’’98, argent pour Kliment Kolesnikov, 52’’00 tout rond dans l’eau ; bronze pour l’Américain Ryan Murphy qui avait pourtant fait le doublé en or, 100-200Dos, à Rio 2016.

200mDos F. Kaylee McKeown fait coup double sur l’or, Kylie Masse sur l’argent, l’Australienne, CM 2015-2017, s’adossant au bronze. INCOMPLET

Chez les H. Evgeny Rylov a le dos large, or encore et RO, 1’53’’27, suivi de Ryan Murphy et du Britannique Luke Greenbank.

-100Pap’ F. La Canadienne Margaret MacNeil fait sa madame Butterfly, 55’’59, suivie de très près par la Chinoise Yufei Zhang, argent, 55’’64 et l’Australienne Emma McKeon, bronze, 55’’72. 

Chez les H., mister Butterfly, c’est  Caeleb Dressel, RM et RO en or, 49’’45, CM 2019, qui prendra 5 médailles d’or à Tokyo… Le Hongrois Kristof Milak, argent et RE, 49’’68 ; le Suisse Noé Ponti nage pour le bronze, en 50’’74.

200Pap’ F. Yufei Zhang devient la nouvelle madame Butterfly, or et RO, 2’03’’86, suivie par les Américaines Regan Smith, 19 ans, 2’05’’30, argent, Hali Flickinger, bronze, 2’05’’65. 

Chez les H., mister Butterfly c’est Kristof Milak, or et RO, 1’51’’25, déjà détenteur du RM aux CM, à Gwangju, Corée du Sud, en 2019, 1’50’’73 ; le Japonais Tomoru Honda, 19 ans, prend l’argent, Federico Burdisso, l’Italien de 19 ans aussi, le bronze.

-200m4nages F. Yui Ohashi, Japon est en or, devant les Américaines Alex Walsh, 19 ans, argent, Kate Douglass, 19 ans aussi, bronze. 

Chez les H., Shun Wang met tout le monde d’accord et s'empare de l’or, devant le Britannique Duncan Scott, argent, le Suisse Jérémy Desplanches prenant le bronze.

-400m4nages F. Yui Ohasi récidive et s’empare de l’or, devant les Américaines Emma Weyant, 19 ans, argent, Hali Flickinger, bronze. 

Chez les H., doublé américain Chase Kalisz, or, Jay Litherland, argent, l’Australien Brendon Smith prenant le bronze.

Relai4x100m F. Or, RO et RM pour l’Australie des soeurs Campbell, Emma McKeon, elles étaient déjà en or à Rio, et Meg Harris, 19 ans, la nouvelle venue, 3’29’’69, devant le Canada et les Usa. 

Chez les H. Les Usa sont en or, devant l’Italie, argent, Australie, bronze.

Relai4x200m F. Les Chinoises Junxuan, 19 ans, Muhan Tang, 17 ans, Yufei Zhang (or sur 200pap’, argent sur 100pap’) et Bingjie Li, 19 ans, raflent tout : l’or, les RO et RM, 7’40’’33 ; les Usa, argent, 7’40’’73, record des Usa, ; l’Australie, 7’41’’29, bronze, record d’Australie. 

Chez les H., la Grande-Bretagne, or, établit un nouveau RE, en 6’58’’58, devant la Russie, argent et l’Australie, bronze.

Relai4x100m4nages F. Or et RO pour les Australiennes (McKeown, Hodges, McKeon, C. Campbell), 3’51’’60 ; Usa, argent, 3’51’’73, ; Canada, bronze, 3’52’’60.

Chez les H., or, RO et RM, 3’26’’78, pour les Américains Ryan Murphy, Michael Andrew, Caeleb Dressel et Zachary Apple ; les Britanniques (Greenbank, Peaty, Guy, Scott) prennent l’argent et non la tangente, plus le RE, en 3’27’’51 ; l’Italie (Ceccon, Martinenghi, Burdisso, Miressi), le bronze, en 3’29’’17.

RelaiMixte-4x100-4nages. Or, RO et RM, 3’37’’58, pour la Grande Bretagne, Kathleen Dawson, Adam Peaty, James Guy, Anna Hopkin ; l’argent va à la Chine (Zu, Yan, Zhang, Yang), le bronze à l’Australie (McKeown, Stubblety-Cook, Temple et McKeon).

50m nage libre. Emma McKeon, Australie, or et RO, 23’’81 ; Sarah Sjoestrom, Suède 24’’07, argent, (4 fois CM en 100mPap, plus le titre olympique à Rio) ; la Danoise Pernille Blume, tenante du titre à Rio, bronze, 24’’21.         

Chez les H. Caeleb Dressel impose sa loi, or et RO, 21’’07 ; Florent Mamadou, 30 ans, France, argent, 21’’55, Bruno Fratus, Brésil 32 ans, argent, 21’57. 

100m nage libre. F. Or et RO , 51’’96, pour Emma McKeon, Australie ; Siobhan Bernadette Haughey, Hong-Kong, argent, 52’’27 ; Cate Campbell, Australie, bronze, 52’’52.

Chez les H. Or et RO pour Caeleb Dressel, 47’’02 ; l’argent pour l’Australien Kyle Chalmers ; 47’'08, le bronze pour le Russe Kliment Kolesnikov,  47’’44.

200m nage libre. F. Or et RO, 1’53’’50, Ariarne Titmus, Australie ; Siobhan Bernadette Haughey, Hong-Kong, récidive, argent, 1’53’’92 ; Penny Oleksiak, Canada, bronze, 1’54’’70.

Chez les H., doublé britannique, Tom Dean, or ; 1’44’’22, Ducan Scott, argent, 1’44’’26 ; le Brésilien Fernando Scheffer optant pour le bronze, 1’44’’66 ; le Roumain David Popovici, 16 ans seulement, se contente du chocolat, 1’44’’68… Ce fut vraiment très serré !

400m nage libre. F. Ariarne Titmus nage dans l’or, 3’56’’69 (à 23 centièmes des RM et RO!) ; Katie Ledecky, Usa, (pourtant en or sur 200-400 et 800m, à Rio 2016) peine à suivre, argent 3’57’’36 ; Bingjie Li, Chine, déjà en or sur le relai 4x200, prend le bronze, .4’01’’08.

Chez les H., l’heureuse surprise vient du Tunisien Ahmed Ayoub Hafnaoui, 18 ans, en or, 3’43’’36 ; l’Australien Jack McLoughlin, argent ; 3’43’’52, l’Américain Kieran Smith, est en bronze, 3’43’’94.

800m nage libre. F. Katie Ledecky conserve son titre, or en 8’12’’37 ; Ariarne Titmus,  argent, 8’13’’83 ; l’Italienne Simona Quaderella, bronze, 8’18’’35.Chez les H. Robert Finke, Usa, or, 7’41’’87 ; l’Italien Gregorio Paltrinieri, argent 7’42’’11 ; l’Ukrainien Mykhailo Romanchuk, bronze, 7’42’’33 ; l’Allemand Florian Wellbrock nage pour le chocolat, en  7’42’’68.

1500m nage libre. F. Doublé des Américaines : Katie Ledecky, or, 15’37’’34 ; Erica Sullivan, 20 ans, argent, 15’41’’41 ; l’Allemande Sarah Kholer,  bronze, 15’42’’91.

Chez les H., on prend les mêmes -presque- et on recommence : Robert Finke, or, 14’39’’65 ;  Mykhailo Romanchuk, argent 14’40’’66 ; Florian Wellbrock, bronze, 14’40’’9 ; le chocolat allant à Gregorio Paltrinieri, 14’45’’01.